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Témoignages

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« La Méthode Progoff conduit à travers l’écriture à rentrer dans les profondeurs de son intimité. Heidemarie nous a invitées à rentrer en dialogue avec notre corps, des personnes, des évènements, des êtres de sagesse et de spiritualité. Des méditations nous permettent de faire venir des images, des associations que nous restituons par l’écriture. J’ai particulièrement aimé la façon dont nous avons travaillé les rêves. Même un rêve fait il y a plus de cinq ans m’a enseigné des choses pour mieux comprendre ce que je vis en ce moment.

Nous parcourons des chemins déjà empruntés et d’autres que nous avons délaissés. Et par des aller-retour entre les différentes sections du journal, se dessinent des ponts et des corrélations. Ce travail m’a beaucoup apporté. En matière de développement personnel, c’est le travail le plus puissant que j’ai fait jusqu’à présent. Je le trouve très puissant car il m’a permis avec mes propres mots de restituer ce que je ressens en ce moment de ma vie. Des révélations apparaissent. Et en relisant ce que j’ai écrit, en croisant les différents textes, j’ai porté un nouveau regard sur le scénario de ma vie.

Et cela m’a permis de me réconcilier, d’intégrer et d’entrevoir aussi toutes les possibilités, le potentiel de créativité que je détiens pour tracer le chemin de ma vie. Le processus est continu puisque ce journal est désormais à mes côtés. Je pourrai y revenir et enrichir mon cheminement intérieur. »

Marie-Hélène, Luxembourg

« La Méthode Progoff conduit à travers l’écriture à rentrer dans les profondeurs de son intimité. Heidemarie nous a invitées à rentrer en dialogue avec notre corps, des personnes, des évènements, des êtres de sagesse et de spiritualité. Des méditations nous permettent de faire venir des images, des associations que nous restituons par l’écriture.
J’ai particulièrement aimé la façon dont nous avons travaillé les rêves. Même un rêve fait il y a plus de cinq ans m’a enseigné des choses pour mieux comprendre ce que je vis en ce moment.

Nous parcourons des chemins déjà empruntés et d’autres que nous avons délaissés. Et par des aller-retour entre les différentes sections du journal, se dessinent des ponts et des corrélations. Ce travail m’a beaucoup apporté.
En matière de développement personnel, c’est le travail le plus puissant que j’ai fait jusqu’à présent. Je le trouve très puissant car il m’a permis avec mes propres mots de restituer ce que je ressens en ce moment de ma vie. Des révélations apparaissent. Et en relisant ce que j’ai écrit, en croisant les différents textes, j’ai porté un nouveau regard sur le scénario de ma vie.

Et cela m’a permis de me réconcilier, d’intégrer et d’entrevoir aussi toutes les possibilités, le potentiel de créativité que je détiens pour tracer le chemin de ma vie.
Le processus est continu puisque ce journal est désormais à mes côtés. Je pourrai y revenir et enrichir mon cheminement intérieur. »

Marie-Hélène, Luxembourg

« On ne peut s’empêcher d’être étonné par ce qui ressort de cet ingénieux voyage intérieur. Toutes ces richesses, que l’on croit propres aux poètes et aux artistes, deviennent accessibles à tous, quel que soit le niveau social. »

Anaïs Nin, Être une femme, p.157

« On ne peut s’empêcher d’être étonné par ce qui ressort de cet ingénieux voyage intérieur. Toutes ces richesses, que l’on croit propres aux poètes et aux artistes, deviennent accessibles à tous, quel que soit le niveau social. »

Anaïs Nin, Être une femme, p.157

« Au-delà de prises de consciences importantes que j’ai pu faire lors de l’atelier du journal intensif, une des choses les plus surprenantes et sans doute les plus bénéfiques que j’ai découverte est la bienveillance envers soi.

Je crois que c’est Malraux qui disait : ‘Juger, c’est évidemment ne pas comprendre, puisque, si l’on comprenait, on ne pourrait plus juger’.

Suite à cette expérience, j’ai bien envie de dire que c’est plus que vrai dans la relation envers soi-même : se libérer de nos propres jugements, voici un pas franc et sincère vers la liberté d’être qui l’on est.

Merci à Heidemarie et à la méthode d’Ira Progoff qu’elle partage avec passion et générosité »

Zineb, Casablanca (Maroc)

« Au-delà de prises de consciences importantes que j’ai pu faire lors de l’atelier du journal intensif, une des choses les plus surprenantes et sans doute les plus bénéfiques que j’ai découverte est la bienveillance envers soi.

Je crois que c’est Malraux qui disait : ‘Juger, c’est évidemment ne pas comprendre, puisque, si l’on comprenait, on ne pourrait plus juger’.

Suite à cette expérience, j’ai bien envie de dire que c’est plus que vrai dans la relation envers soi-même : se libérer de nos propres jugements, voici un pas franc et sincère vers la liberté d’être qui l’on est.

Merci à Heidemarie et à la méthode d’Ira Progoff qu’elle partage avec passion et générosité »

Zineb, Casablanca (Maroc)

« Lorsque j’ai entendu parler du Journal Intensif, j’étais arrivée à un point où j’avais le sentiment de subir ma vie. Spectatrice d’une existence qui ne me ressemblait pas, je ne me reconnaissais plus. J’avais besoin de reprendre possession de ma vie. Quelque chose au fond de moi savait – pour l’avoir déjà vécu ? – que la véritable joie de l’être réside dans la création de notre propre vie.

Il est vrai que ce travail demande un investissement en temps. Mais pour moi c’est devenu essentiel : quand j’ai besoin de faire le point, j’ouvre mon Journal et à chaque fois je le referme avec davantage de sérénité. Mon regard sur ma vie a radicalement changé. Je ne suis plus la spectatrice passive de mon existence. Le positif a supplanté le négatif : j’ai pris l’habitude de mettre en valeur les aspects positifs des choses au lieu de me bloquer sur les aspects négatifs…”

Marie-Blanche, Bruxelles (Belgique)

« Lorsque j’ai entendu parler du Journal Intensif, j’étais arrivée à un point où j’avais le sentiment de subir ma vie. Spectatrice d’une existence qui ne me ressemblait pas, je ne me reconnaissais plus. J’avais besoin de reprendre possession de ma vie. Quelque chose au fond de moi savait – pour l’avoir déjà vécu ? – que la véritable joie de l’être réside dans la création de notre propre vie.

Il est vrai que ce travail demande un investissement en temps. Mais pour moi c’est devenu essentiel : quand j’ai besoin de faire le point, j’ouvre mon Journal et à chaque fois je le referme avec davantage de sérénité. Mon regard sur ma vie a radicalement changé. Je ne suis plus la spectatrice passive de mon existence. Le positif a supplanté le négatif : j’ai pris l’habitude de mettre en valeur les aspects positifs des choses au lieu de me bloquer sur les aspects négatifs…”

Marie-Blanche, Bruxelles (Belgique)

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